Alors qu’Universal tente de ressusciter le DVD Audio dans sa forme la plus basique (24bit-96Khz) sous format Blu Ray, le label norvégien 2L offre le compromis idéal en matière de Haute Définition Pure Audio, avec deux disques logés dans un boitier Blu Ray. Le premier est un SACD masterisé en DXD 24bit-352.8khz et le second un Blu Ray pure audio, en multicanal ou stéréo avec deux mixages différents (5.0 DTS HD MA 24bit-192khz et 2.0 LPCM 24bit-192khz). Le résultat est une petite merveille de précision et d’ouverture de l’espace sonore. Pour l’enregistrement qui nous occupe ici, c’est encore plus probant avec un ensemble vocal de grande tenue, offrant une série de quatorze chants dont ceux notamment de Nielsen, Tveitt, Holden, ou encore Berge et Janson. Soutenu par la direction souple et dense d’Elisabeth Holte, l’ensemble vocal Urianienborg subjugue par une force expressive de chaque instant, dans une clarté de timbres des plus enchanteurs. Bref, vous l’aurez compris, c’est l’un des chocs musicaux de cette rentrée 2013.
Jean-Jacques Millo Whereas Universal is trying to revive the DVD-Audio in its most basic form (24bit-96Khz) via the Blu-ray format, the Norwegian label 2L is offering the ideal compromise vis-à-vis Pure Audio High Definition with two discs lodged in one Blu-ray case. The first is an SACD mastered in DXD 24bit-352.8kKhz, and the second is a pure audio Blu-ray in multichannel or stereo with two different mixes (5.0 DTS HD MA 24bit-192Khz and 2.0 LPCM 24bit-192Khz). The result is a small marvel of precision and openness of the soundstage. For the recording under review, it is all the more convincing with a vocal group of the highest order, offering a series of fourteen songs, among them those of Nielsen, Tveitt, Holden, Berge, and Janson. Supported by the supple and rich direction of Elisabeth Holte, the Urianienborg vocal ensemble captivates us by its expressive force at each moment, in a clarity of tone that is full of enchantment. In short, there is no denying this is one of the musical highlights of 2013. Translation Lawrence Schulman |