"L’ensemble Il Pomo d’Oro et la violoniste Zefira Valova proposent ici une série de Concertos pour violon et Orchestre méconnus de la seconde moitié du XVIIIème siècle". Franz Benda (1709-1786) avec son Concerto pour violon en La majeur L2.13 en trois mouvements, Johann Gottlieb Graun (c1703-1771) avec son Concerto pour violon en Do mineur en trois mouvements, Joseph Bologne de Saint-Georges (c1745-1799) avec son Concerto pour violon en Ré majeur, datant de 1772 environ, en trois mouvements, Maddalena Lombardini Sirmen (1745-1818) et son Concerto pour violon N°1 en Si bémol majeur Op.3 de 1768 environ, en trois mouvements, et pour finir, Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) et son Rondo pour violon et orchestre en Do majeur K.373 de 1781. Dans un engagement omniprésent, à l’émotion prégnante, Zefira Valova plonge littéralement dans ces partitions fascinantes, pour en délivrer un discours musical des plus accomplis et faire rejaillir leur lumière, trop longtemps plongée dans le silence. Bref, une parution à découvrir sans tarder.
Jean-Jacques Millo “The ensemble Il Pomo d’Oro and the violinst Zefira Valova here propose a series of unknown Concertos for Violin and Orchestra from the second half of the 18th century.” Franz Benda (1709-1786) with his Concerto for Violin in A major L2.13 in three movements, Johann Gottlieb Graun (c.1703-1711) with his Concerto for Violin in C minor in three movements, Joseph Bologne de Saint-Georges (c.1745-1799) with his Concerto for Violin in D minor, dating from about 1772, in three movements, Maddalena Lombardini Sirmen (1745-1818) and his Concerto for Violin N°1 in B flat major Op.3 from about 1768, in three movements, and to conclude, Wolfang Amadeus Mozart (1756-1791) and his Rondo for Violin and Orchestra in C major K.373 from 1781. With omnipresent commitment and full-fledged emotion, Zefira Valova literally plunges into these fascinating scores, which have been plunged into silence for too long now, to deliver a musical discourse that is most accomplished and brings out their light. Translation Lawrence Schulman |