La symphonie N°5 en ré majeur de Ralph Vaughan Williams (1872-1958) fut créée à Londres en 1943 et dédiée à Jean Sibelius "sans son accord". "Elle est en contraste complet avec celle qui l’avait précédée, précise Marc Vignal. Cette partition lumineuse se présente en quatre mouvements et comporte une citation avec variations de la Symphonie N°4 de Brahms". Le Concerto pour clarinette et orchestre à cordes Op.31 de Gerald Finzi (1901-1956) est, quant à lui, en trois mouvements. Ami de Vaughan Williams, il ne s’aventura jamais dans le domaine symphonique. En musicien accompli, Le clarinettiste Michael Collins "s’engage depuis longtemps à l’élargissement du répertoire de son instrument de prédilection et a notamment assuré la création d’oeuvres de John Adams, Elliott Carter, Brett Dean et Mark-Anthony Turnage". Avec ce SACD, nous tenons un modèle interprétatif des oeuvres abordées, pour le plus grand plaisir des mélomanes qui ne sauraient ignorer pareille aubaine.
Jean-Jacques Millo The Symphony Nº5 in D major by Ralph Vaughan Williams (1872-1958) was first performed in London in 1943 and dedicated to Jean Sibelius “without his agreement.” It is in complete contrast to what preceded it,” notes Marc Vignal. “This luminous score contains four movements and includes a citation with variations from Brahms’ Symphony Nº4.” As to the Concerto for Clarinet and String Orchestra Op.31 by Gerald Finzi (1901-1956), it is in three movements. A friend of Vaughan Williams, he never ventured into the symphonic domain. An accomplished musician, the clarinetist Michael Collins “has for a long time been motivated by enlarging the repertory of his instrument of choice, and has most notably premiered works by John Adams, Elliot Carter, Brett Dean, and Mark-Anthony Turnage.” With this SACD, we can appreciate an interpretive model of the works played, for the great pleasure of music lovers who should not ignore such a godsend.
Translation Lawrence Schulman |