Voici le deuxième volume d’une intégrale consacrée à la musique pour violon du compositeur russe Igor Strawinsky (1882-1971). Les œuvres abordées sont « Pastorale » de 1907 arrangée en 1933 pour violon et quatre instruments à vent, « Ballad » de 1928 et arrangée en 1947 d’après le Ballet « Le Baiser de la Fée », « Suite Italienne » de 1925 arrangée en 1933 d’après le Ballet « Pulcinella », « Divertimento » de 1928 arrangée en 1932 toujours d’après le Ballet « Le Baiser de la Fée », « Variations d’Apollon » (Apollon et les Muses) datant de 1928 pour violon solo et cordes d’après « Appolon Musagète », le « Concerto pour violon » de 1931, « Elégie » pour violon solo de 1944 et pour finir, « Tango » arrangée par Samuel Dushkin. Ilya Gringolts et Peter Paul défendent magistralement ces partitions en leur rendant leur beauté première. L’engagement musical est présent de bout en bout de ce parcours, offrant une ferveur communicative indéniable. L’Orchestre Symphonique de Galice, que dirige Dima Slobodeniouk, est également un artisan incontournable de la réussite de ce SACD à découvrir sans tarder.
Jean-Jacques Millo Here is the second volume of the complete works devoted to the music for violin by Igor Stravinsky (1882-1971). The works played are “Pastoral” from 1907 arranged in 1933 for violin and four string instruments, “Ballad” from 1928 and arranged in 1947 based on the ballet “The Fairy’s Kiss,” “Italian Suite” from 1925 arranged in 1933 based on the ballet “Pulcinella,” “Divertimento” from 1928 arranged in 1932 based on the ballet “The Fairy’s Kiss,” “Variations of Apollon” (Apollon et the Muses) dating from 1928 for violin solo and strings based on “Appolon Musagète,” the “Concerto for violin” from 1931, “Eligy” for violin solo from 1944, and to end, “Tango” arranged by Samuel Dushkin. Ilya Gringolts and Peter Paul majestically play these scores, restoring them to their original beauty. The musical commitment is present from beginning to end, offering undeniable communicative fervor. The Galice Symphonic Orchestra, that Dima Slobodeniouk directs, is also an artisan of the success of this SACD, which is to be discovered as soon as possible. Translation Lawrence Schulman |