Avec ce second volume, la rencontre Liszt/Richter subjugue de nouveau, à la fois en terme interprétatif et « résurrection sonore » tellement le remastering DSD, d’après les bandes originales, est époustouflant de vérité. Le programme est copieux (près de 80 minutes !) avec Scherzo et Marche S.177, Méphisto Valse N°1 S.514, Ave Maria S.182, trois pièces des Harmonies Poétiques et Religieuses S.173 (Pensée des morts, Funérailles, Andante Lagrimoso), Méphisto Polka s.217, Nuages Gris S.199/7 et Valses Oubliées N°2 S.215. « Le pianiste n’est qu’un exécutant qui doit traduire à la lettre les intentions du compositeur. Il ne doit rien ajouter à la partition. S’il a du talent, il nous permettra d’entrevoir une vérité de l’œuvre, ce qui en soi tient déjà du miracle… Il ne devra pas dominer cette musique mais se dissoudre en elle ». Ainsi parlait Sviatoslav Richter…
Jean-Jacques Millo With this second volume, the Liszt/Richter coupling once again subjugates us both in interpretive terms and as a “sound resurrection,” for the DSD remastering based on master tapes is stunning in its fidelity. The program is copious (nearly 80 minutes!) with Scherzo and March S.177, Mephisto Waltz N°1 S.514, Ave Maria S.182, three pieces from Poetic and Religious Harmonies S.173 (Thought on the dead, Funérailles, Andante Lagrimoso), Mephisto Polka S.217, Gray Clouds S.199/7, and Forgotten Walzes N°2 S.215. “The pianist is only the performer who must translate to the letter the composer’s intentions. He must add nothing to the score. If he has talent, he must allow us to perceive truth in the work, which is already a miracle in itself… He must not dominate this music but dissolve himself in it.” Thus spoke Sviatoslav Richter… Translation Lawrence Schulman |