Quelle surprise! Quelle révélation! Le Requiem de Mozart sous la baguette et « la plume » de Masaaki Suzuki est une expérience musicale qui hantera longtemps les esprits. D’une inspiration totale livrée dans un souffle à la fois profond et léger, le grand œuvre du maître de Salzbourg renaît dans une nouvelle dimension sonore culminant dans un « Lacrimosa » à faire pleurer les pierres. Et les quelques secondes de l’ « Amen » composées par le chef japonais s’intègrent parfaitement dans le discours musical mis en place. En complément, « Les Vêpres d’un Confesseur » enchantent tout autant. Saluons également la prestation des solistes (Carolyn Sampson, Marianne B. Kielland, Makoto Sakurada, Christian Immler) et du Bach Collegium Japan. Voici, en définitive, une version de référence du Requiem de Mozart sur support SACD, dans une prise de son superlative.
Jean-Jacques Millo What a surprise! What a revelation! Mozart’s Requiem under the baton and according to Masaaki Suzuki is a musical experience that will haunt one’s spirit for a long time to come. Totally inspired and delivered with both depth and lightness, the great work by the Salzburg master is reborn in a new sound dimension culminating in the “Lacrimosa” that will make stones weep. And the few seconds of the “Amen” composed by the Japanese conductor integrate perfectly with the musical discourse. As a bonus, “The Vespers of a Confessor” equally enchant. Let us also praise the performances of the soloists (Carolyn Sampson, Marianne B. Kielland, Makoto Sakurada, Christian Immler) and the Bach Collegium Japan. Here is version of Mozart’s Requiem that is definitely a reference on SACD, in a superlative sound recording. Translation Lawrence Schulman |