Opus Haute Définition e-magazine

Haydn. Nordheim. Bartok

Quatuors à Cordes

Quatuor Engegard

2L 2L 91, Distrart Musique

Super Audio CD hybride stéréo/multicanal

Arvid Engegard, Atle Sponberg, Juliet Jopling et Adrian Brendel composent le Engegard quartet et proposent le Quatuor à cordes Op.77 N°1 de Joseph Haydn (1732-1809), le Duo pour violon et alto de Arne Nordheim (1931-2010) ainsi que le Quatuor à cordes N°5 Sz.102 de Béla Bartók (1881-1945). Ce dernier « suscité par Elisabeth Sprague-Coolidge, célèbre mécène américaine auquel il est dédié – et qui commanditera également le Quatuor Op.28 de Webern peu après – a été écrit en un mois pendant l’été 1934, et créé par le Quatuor Kolish à Washington le 8 avril 1935. Seule composition de l’année 1934, date à partir de laquelle Bartók n’écrit pratiquement plus que sur commande, ce quatuor constitue par ailleurs la première œuvre d’importance capitale depuis le Deuxième Concerto pour piano (1931) » (Alain Poirier). Dès les premières mesures des œuvres abordées, le Engegard Quartet trouve l’inspiration pour ne plus la lâcher jusqu’au terme d’un enregistrement remarquable, aussi bien sur le plan artistique que sur le plan de la restitution sonore où les timbres instrumentaux sont fidèlement restitués. Un grand SACD de musique de chambre.

Jean-Jacques Millo

Arvid Engegard, Atle Sponberg, Juliet Jopling and Adrian Brendel belong to the Engegard Quartet, and here propose the String Quartet Op.77 N N°1 by Joseph Haydn (1732-1809), the Duo for Violin and Alto by Arne Nordheim (1931-2010), as well as the String Quartet N°5 Sz.102 by Béla Bartók (1881-1945). The last work, “commissioned by Elisabeth Sprague-Coolidge, the famous American sponsor to whom it is dedicated – and who also commissioned the Quartet Op.28 by Webern shortly thereafter, was written in one month during the summer of 1934, and first performed by the Kolish Quartet in Washington on April 8, 1935. His only composition from the year 1934, date starting from which Bartók wrote practically only on commission, this quartet constitutes the first work of capital importance since the Second Concerto for Piano (1931)” (Alain Poirier). Starting from the first measures of the works performed, the Engegard Quartet is inspirational, and does not let up, until the end of this recording, which is remarkable not just artistically but in terms of the sound recording wherein the instruments’ tones are faithfully restituted. Here is a great chamber music SACD.

Translation Lawrence Schulman

Disponible surClic Musique !
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