Voici un SACD, stéréo uniquement, au minutage généreux regroupant pour la première fois Trois Concertos du compositeur russe Dimitri Chostakovitch (1906-1971). Trois Concertos, trois solistes, trois orchestres différents. Pour débuter ce programme exceptionnel, Mstislav Rostropovich illumine le Concerto pour violoncelle N°1 Op.107 datant de 1959 qui fut composé pour lui. Chostakovitch déclarait alors : « J’en ai eu l’idée pour la première fois en entendant la « Symphonie-Concerto » (Op.125) pour violoncelle et orchestre de Prokofiev ; elle m’intéressa grandement et éveilla en moi le désir de m’essayer aussi à ce genre ». Eugene Ormandy dirige le Philadelphia Orchestra. Le Concerto pour piano N°2 Op.102 de 1956 est confié aux doigts et à la baguette du célèbre chef d’orchestre et compositeur Leonard Bernstein qui dirige du piano le New York Philharmonic. Et pour finir, c’est David Oïstrakh qui transcende le Concerto pour violon N°1 Op.99 de (1947-1955) accompagné par Evgeny Mravinsky et le Leningrad Philharmonic. Vous l’aurez compris, c’est bien un disque unique qui nous est proposé là, unique, en série limitée, et à petit prix…
Jean-Jacques Millo Here is a stereo-only SACD that is quite generous in total time and regroups for the first time the three concertos by the Russian Composer Dimitri Chostakovitch (1906-1971). Three concertos, three soloists, three different orchestras. To open this exceptional program, Mstislav Rostropovich illuminates the Concerto for Cello N°1 Op.107, dating from 1959, which was composed for him. Chostakovitch declared at the time: “I had the idea for it for the first time while listening to the “Symphony-Concerto” (Op.125) for Cello and Orchestra by Prokofiev; it very much interested me and woke in me the desire for me to try the genre too.” Eugene Ormandy directs the Philadelphia Orchestra. The Concerto for Piano N°2 Op.102 from 1956 is reserved for the fingers and baton of the famous conductor and composer Leonard Bernstein, who leads the New York Philharmonic from the piano. And to finish, it is David Oïstrakh who transcends the Concerto for Violin N°1 Op.99 from 1947-1955, accompanied by Evgeny Mravinsky and the Leningrad Philharmonic. You got it right, the disc proposed here a rare treat – singular, a limited edition, and inexpensive… Translation Lawrence Schulman |