Cet enregistrement est consacré à deux grandes figures de la musique britannique du XXème siècle. Benjamin Britten, que l’on ne présente plus et Kenneth Leighton (1929-1988) plutôt méconnu dans nos contrées. Ce dernier pratiqua l’enseignement, la composition mais également la musique en tant que pianiste. Son catalogue regroupe des œuvres de différents genres musicaux comme notamment, des pièces pour orgues, pour clavecin, pour piano, des concertos pour violoncelle, pour piano, pour orgue ou encore pour violon, des symphonies, et de la musique vocale, à la fois avec orchestre, a-capella et avec piano. C’est d’ailleurs le cas pour l’œuvre qui nous est proposée ici « Earth, sweet earth…Laudes Terrae », cantate pour ténor et piano datant de 1986. « Winter Words » Op.52 de Britten est une série de huit poèmes dans lesquels l’humour côtoie une certaine finesse de trait. Pour notre plus grand plaisir, James Gilchrist et Anna Tilbrook réitèrent la superbe réussite de l’album Ralph Vaughan-Williams. Sous leur auspice, ces pages prennent une dimension humaine remarquable d’intensité et de ferveur. Dans une prise de son parfaite, ce SACD est un incontournable du genre.
Jean-Jacques Millo This recording is devoted to two great figures in 20th century British music: Benjamin Britten, so familiar to us today, and Kenneth Leighton (1929-1988), who is poorly known nowadays. The latter taught and composed, but was also a pianist. His catalog includes works of various genres, most notably pieces for organ, keyboard, and piano; concertos for cello, piano, organ, and violin; symphonies; and vocal music with orchestra, a cappella, and with piano. And that happens to be the case for the work proposed here: “Earth, sweet earth…Laudes Terrae,” a cantata for tenor and piano dating from 1986. “Winter Words” Opus 52 by Britten is a series of eight poems in which humor intertwines with a certain delicacy of hand. To our great pleasure, James Gilchrist and Anna Tilbrook repeat the superb success of their Ralph Vaughn-Williams album. Under their auspices, these pages take on a human dimension that is remarkable for its intensity and fervor. This SACD, in a perfect sound recording, is a must. Translation Lawrence Schulman Disponible sur | |
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